vendredi 30 janvier 2009

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Dessin de Beeler

jeudi 29 janvier 2009

Un 29 janvier en France...


Comme dit Obama: Change We Can Believe In !

;o)

mercredi 21 janvier 2009

Fatigués par soixante années de conflit...

Israël promet à ses citoyens la tranquillité, fût-ce au prix de rayer Gaza de la carte. Quant au Hamas, il promet à ses citoyens la mort prochaine, fût-ce au prix du tir d'une misérable roquette. Quelle belle stratégie, grisante et prometteuse ! Elle permet au Hamas d'annoncer la "victoire" quels que soient les résultats de la guerre et quel que soit le nombre de victimes. Une victoire incontestable. Car comment ne pas être désarmé face à celui qui défend l'idée selon laquelle on détruit Israël en lançant des roquettes alors qu'on sait que les représailles provoqueront la mort de centaines d'enfants palestiniens ?


Youssef Bazzi
Al Mustaqbal

mercredi 14 janvier 2009

Palestiniens Vs Israeliens

Je suis tombé sur un bon article, je vous laisse vous faire votre opinion...


de Bernard-Henri Lévy


N’étant pas un expert militaire, je m’abstiendrai de juger si les bombardements israéliens sur Gaza auraient pu être mieux ciblés, moins intenses.


N’ayant, depuis des décennies, jamais pu me résoudre à distinguer entre bons et mauvais morts ou, comme disait Camus, entre « victimes suspectes » et « bourreaux privilégiés », je suis évidemment bouleversé, moi aussi, par les images d’enfants palestiniens tués.
Cela étant dit, et compte tenu du vent de folie qui semble, une fois de plus, comme toujours quand il s’agit d’Israël, s’emparer de certains médias, je voudrais rappeler quelques faits.

1. Aucun gouvernement au monde, aucun autre pays que cet Israël vilipendé, traîné dans la boue, diabolisé, ne tolérerait de voir des milliers d’obus tomber, pendant des années, sur ses villes : le plus remarquable dans l’affaire, le vrai sujet d’étonnement, ce n’est pas la « brutalité » d’Israël-c’est, à la lettre, sa longue retenue.

2. Le fait que les Qassam du Hamas et, maintenant, ses missiles Grad aient fait si peu de morts ne prouve pas qu’ils soient artisanaux, inoffensifs, etc., mais que les Israéliens se protègent, qu’ils vivent terrés dans les caves de leurs immeubles, aux abris : une existence de cauchemar, en sursis, au son des sirènes et des explosions-je suis allé à Sdérot, je sais .

3. Le fait que les obus israéliens fassent, à l’inverse, tant de victimes ne signifie pas, comme le braillaient les manifestants de ce week-end, qu’Israël se livre à un « massacre » délibéré, mais que les dirigeants de Gaza ont choisi l’attitude inverse et exposent leurs populations : vieille tactique du « bouclier humain » qui fait que le Hamas, comme le Hezbollah il y a deux ans, installe ses centres de commandement, ses stocks d’armes, ses bunkers, dans les sous-sols d’immeubles, d’hôpitaux, d’écoles, de mosquées-efficace mais répugnant.

4. Entre l’attitude des uns et celle des autres il y a, quoi qu’il en soit, une différence capitale et que n’ont pas le droit d’ignorer ceux qui veulent se faire une idée juste, et de la tragédie, et des moyens d’y mettre fin : les Palestiniens tirent sur des villes, autrement dit sur des civils (ce qui, en droit international, s’appelle un « crime de guerre ») ; les Israéliens ciblent des objectifs militaires et font, sans les viser, de terribles dégâts civils (ce qui, dans la langue de la guerre, porte un nom-« dommage collatéral »-qui, même s’il est hideux, renvoie à une vraie dissymétrie stratégique et morale).

5. Puisqu’il faut mettre les points sur les i, on rappellera encore un fait dont la presse française s’est étrangement peu fait l’écho et dont je ne connais pourtant aucun précédent, dans aucune autre guerre, de la part d’aucune autre armée : les unités de Tsahal ont, pendant l’offensive aérienne, systématiquement téléphoné (la presse anglo-saxonne parle de 100 000 appels) aux Gazaouis vivant aux abords d’une cible militaire pour les inviter à évacuer les lieux ; que cela ne change rien au désespoir des familles, aux vies brisées, au carnage, c’est évident ; mais que les choses se passent ainsi n’est pas, pour autant, un détail totalement privé de sens.

6. Et quant au fameux blocus intégral, enfin, imposé à un peuple affamé, manquant de tout et précipité dans une crise humanitaire sans précédent (sic), ce n’est, là non plus, factuellement pas exact : les convois humanitaires n’ont jamais cessé de passer, jusqu’au début de l’offensive terrestre, au point de passage Kerem Shalom ; pour la seule journée du 2 janvier, ce sont 90 camions de vivres et de médicaments qui ont pu, selon le New York Times , entrer dans le territoire ; et je n’évoque que pour mémoire (car cela va sans dire-encore que, à lire et écouter certains, cela aille peut-être mieux en le disant...) le fait que les hôpitaux israéliens continuent, à l’heure où j’écris, de recevoir et de soigner, tous les jours, des blessés palestiniens.

Très vite, espérons-le, les combats cesseront. Et très vite, espérons-le aussi, les commentateurs reprendront leurs esprits. Ils découvriront, ce jour-là, qu’Israël a commis bien des erreurs au fil des années (occasions manquées, long déni de la revendication nationale palestinienne, unilatéralisme), mais que les pires ennemis des Palestiniens sont ces dirigeants extrémistes qui n’ont jamais voulu de la paix, jamais voulu d’un Etat et n’ont jamais conçu d’autre état pour leur peuple que celui d’instrument et d’otage (sinistre image de Khaled Mechaal qui, le samedi 27 décembre, alors que se précisait l’imminence de la riposte israélienne tant désirée, ne savait qu’exhorter sa « nation » à « offrir le sang d’autres martyrs »-et ce depuis son confortable exil, sa planque, de Damas...).

Aujourd’hui, de deux choses l’une. Ou bien les Frères musulmans de Gaza rétablissent la trêve qu’ils ont rompue et, dans la foulée, déclarent caduque une charte fondée sur le pur refus de l’« entité sioniste » : ils rejoindront ce vaste parti du compromis qui ne cesse, Dieu soit loué, de progresser dans la région-et la paix se fera. Ou bien ils s’obstinent à ne voir dans la souffrance des leurs qu’un bon carburant pour leurs passions recuites, leur haine folle, nihiliste, sans mots-et c’est non seulement Israël, mais les Palestiniens, qu’il faudra libérer de la sombre emprise du Hamas.


Article

jeudi 8 janvier 2009

Pensée du jour

Maintenant, c'est le premier jour du restant de sa vie...

Birdy Nam Nam, nouvel ALBUM!!!



http://www.myspace.com/birdynamnam

Sortie prévu ce lundi 12 janvier 2009!!! J'ai hâte!!! J'espère surtout que le DVD Live@Olympia sortira aussi!!

en attendant... Désolé pour la qualité sonore (vieux IXUS700) mais au moins ca donne une idée... ENJOY

mardi 6 janvier 2009

Diagramme décisionnel H/F

Le diagramme ci-dessous illustre le processus dans un cerveau d'homme et de femme à la réponse d'une simple phrase du/de la partenaire: " Sortons boire un verre! "